Vous souhaitez en savoir plus sur moi, avant notre première séance ?

Quelques mots sur mon parcours

J’ai découvert l’ostéopathie en première année de médecine, après avoir réalisé que j’étais passionnée par l’anatomie humaine.

C’est en écoutant l’un de mes professeurs ostéopathe que je suis définitivement tombée amoureuse de ce métier.

Diplômée depuis 2013, j’ai exercé 7 ans sur le Pays Basque avant de venir m’installer en 2021 en Ariège.

Adepte de l’escalade et des activités liées à la montagne, je trouve, dans cette région accueillante, un bel équilibre de vie.

Mes recherches pour vous proposer de nouveaux outils ne s’arrêtent jamais et aujourd’hui, après différentes formations et recherches personnelles, j’utilise des techniques manuelles douces, faciales, réflexes, viscérales et énergétiques.

Il est important pour moi que vous vous sentiez écouté et respecté.

Le lien de confiance est essentiel selon moi pour avoir les meilleurs résultats possibles.

Pour mieux me connaitre

Si j’aime autant mon travail c’est parce que j’ai à cœur de vous aider à traverser ces moments difficiles où la douleur (physique ou émotionnelle) prend une place énorme dans votre vie.

A l’âge de 16 ans, je souffrais de maux de tête très fréquents. Une douleur invisible mais tellement invalidante. Malgré le soutien de ma famille et de mes amis, je me suis sentie si seule et désemparée par moments. Ma souffrance quotidienne était telle, qu’un jour une pensée que je n’oublierai jamais a traversé mon esprit : « j’aimerais que l’on me trouve une tumeur cérébrale ».

Au fond, je souhaitais juste être soulagée mais cette pensée était tellement effrayante.

C’est à partir de là que j’ai commencé à m’ouvrir à d’autres approches. Je me suis alors passionnée pour l’esprit humain. J’ai aussi été accompagnée en médecine douce, j’ai suivi des régimes alimentaires, ect…

Par ces expériences, j’ai surtout appris à mieux me connaitre et à trouver l’équilibre de vie qui me correspond.

Aujourd’hui, avoir mal à la tête est devenu rare mais m’arrive. Le grand changement entre mes 16 ans et aujourd’hui c’est que cette douleur ne me crée plus d’anxiété et n’influence plus mes décisions.

Elle est comme les autres douleurs une information que je prends en compte, qui peut sur le moment m’inquiéter mais c’est passager.